Je n’imaginais pas que le lancement d’une montre connectée puisse faire autant de bien au moral.
C’était cette semaine au Studio Harcourt. Un magnifique hôtel particulier niché au cœur du seizième arrondissement de Paris. En attendant que tout le monde installe la nouvelle Fitbit versa 2 à son poignet, nous sommes invités à investir les salons du studios, pour contempler les galeries de photos de l’âge d’or du cinéma noir et blanc.
Les portraits sont suspendus, le temps aussi. Nous jouons avec la montre, je découvre que mon cœur bat à 60 bpm, que je viens de faire 208 pas depuis mon arrivée. Ma montre vibre : j’ai un message de mon fils, il a bien fait ses devoirs. Je n’ai pas besoin de sortir mon portable.
Les journalistes sont tous équipés, c’est le moment d’annoncer à la presse toutes les nouvelles fonctionnalités : En intégrant Alexa, l’assistant Google, la fitbit versa 2 fait le pari osé de rivaliser sur le terrain des Apple Watch et Samsung Galaxy Watch.
Elle se démarque aussi en affichant la plus importante autonomie dans le monde de la montre connectée, en passant de 4 à 5 jours d’utilisation. Etanche à 50 m, elle permet de l’utiliser en piscine, suit le cycle menstruel et propose de la relaxation grâce à un exercice de respiration guidée.
La conférence est terminée, nous sommes invités à nous rendre au rez-de-chaussée. Une maquilleuse nous poudre, nous pousse délicatement derrière un rideau rouge. Nous sommes plongés dans les studios Harcourt, pour une séance photo hors du temps. La montre au poignet, je ne me suis jamais sentie aussi belle sur une photo.
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